Assise dans la cour

*Lady Capulet s'ennuyait à mourir, comme d'habitude.
Assise sous un olivier qui avait la bonté de lui faire de l'ombre, elle songeait à tout ce qu'elle avait fait aujourd'hui, et à ce qui lui restait à faire.
Elle se disait que les domestiques étaient des incapables, qu'il fallait tout leur expliquer, voire tout faire par sois-même !

La dame jouait avec sa bague en grenats tout en se disant qu'elle n'en pouvait plus de rester là, à rien faire, mais se sentait trop fatiguée pour bouger.*

*se promena par la*
*est deçus que Romeo part*
*Ne remarque pas sa mere*

Lady Capulet, en revanche, remarqua très bien sa fille.

- Eh bien ? On ne dit plus bonjour à sa mère, mademoiselle ?

Elle remarqua son air un peu mélancolique.

- Vous avez une petite mine, ma fille. Seriez-vous souffrante ?

-Paronnez moi mere je vient de perdre une personne qui est precieuse pour moi!
*sourit*
*

*Ella observa un instant sa fille, surprise de sa réponse.*

- Vraiment ? Et qui est cette personne ?

*Elle n'avait pas l'habitude de voir sa fille dans un tel état, et commença à s'inquièter.*

-Un ami!
*soupire*
-C'est pas gave! je vais m'en remettre.
*sourit*
-Comment allez vous?

[size=12]*La dame n'avait cependant pas dit son dernier mot.
Sa fille jouait aux cachotteries, mais cela ne durerait pas longtemps !
Elle lui ferait bien avouer. Mais pas tout de suite. Elle était trop fatiguée, pour le moment.
Elle se contenta donc de répondre à sa dernière question.*

- Parfaitement bien. Auriez-vous vu votre père ?

-Non mere, je suis ravie que vous portiez bien!

[size=12]*Lady Capulet songea que sa fille était l'opposé d'elle.
Juliette était douce, fraîche et agréable.
Elle, était froide, hautaine, méprisante.
Ceci la fit sourire légèrement.*

- Merci, Juliette.

*Elle se demanda ce que pouvait bien faire son mari, puis chassa cette idée.
Ce que son mari faisait, elle s'en moquait, après tout !*

- Je n'aime pas vous voir si triste, ma fille. Que vous faut-il pour que vous cessiez d'avoir cet air sombre, malgré vos sourires ?

hj : excuse-moi pour la taille... J'ai un peu de mal, mais je vais m'y faire !

hj: pas de prob
-J'aimerais tant qu'on soit complice

*La dame haussa les épaules.*

- Qu'entendez-vous par là ?

*Elle regarda sa fille en se disant qu'elle n'avait jamais été "complice" avec personne, et que ce n'était pas maintenant que cela allait changer...*

-J'aimerais qu'on partage plus de chose
*ne sait plus quoi dire*

*Elle se mit à rire.*

- Ah ! Ma fille ! Vous êtes tellement en quête d'absolu et de bonheur que vous êtes complètement aveuglée. La vie n'est pas un conte de fée...

*Voici des paroles bien méchantes, mais c'était pourtant la vérité.
La vie n'avait rien de doux ou d'agréable, et elle était navrée que sa fille soit si naïve, et se fasse tant d'illusions...*

-Je le sais mais croyez vous que vous me rejettez

*Elle observa un instant sa fille, puis secoua la tête.*

- Voyons, cessez de faire la sotte ! Vous rejeter ? Pourquoi ? Je suis seulement entrain de vous expliquer que vous avez trop d'espérances en la vie. Vous avez l'air de songer que tout fini toujours bien, et que tout le monde est chargé de bonnes intentions... C'est une erreur, ma fille !

*Elle sourit vaguement.*

-Si vous vouliez bien, passon a autre chose?
*sourit*
-Aviez vous des nouvelles de Mr Paris?

*Elle hocha la tête, en signe de concsentement.*

- Non, aucune... Je crois qu'il vous a vite remplacée, cependant. Ah ! Il ne doit pas savoir ce qu'il manque ! Je suis convaincue que vous seriez une parfaite épouse... Pourquoi me demandez-vous cela ?

*Elle de demanda si sa fille était amoureuse de Pâris.
C'était peut-être la raison de ce questionnement ?*

-Non mere, j'ai eu vent qu'une certaine Victoria serais une des notre?
hj: Victoria est la fille d'un capulet
hj: s mere peut etre la soeur de l'amour perdu de Laday cap
hj: je vais bietot manger, je rev

*Elle eut beau chercher, cette Victoria ne lui dit rien.
Il faut dire qu'elle n'écoutait que d'une oreille les conversations que l'on avait dans le monde, et qu'elle rattait souvent bon nombre d'informations...*

- Hum... J'avoue que vous me prenez un peu au dépourvu... Victoria, dites-vous ?

*Elle réfléchit encore... Enfin, elle se souvint !
Oui, elle avait déjà entendu parler d'une dénommée Victoria...*

- Mais en quoi aurait-elle un rapport avec monsieur Pâris ?

-Rien!
*sourit*
-Il parait que c'est la fille d'un Ariane et d'un montaigu

*Elle trouvait sa fille de plus en plus étrange, mais ne dit rien à ce propos.
En entendant un prénom qui lui était familier, elle regarda sa fille.*

- Vous dites Ariane ?

*Elle avait connu une Ariane, quand elle était plus jeune... A Florence...
Elle était la soeur de... Ah ! Pourquoi se faire du mal en songeant à cela maintenant ?
Ce n'était probablement pas la même Ariane...*

-Elle est morte peu de temps apres la naissance de Victoria, on m'as dit qu'elle habitait a Florance et que c'etait une amie à vous!

*Impossible ! Incroyable ! Terrifiant !
Pourquoi le hasard faisait-il si bien les choses ?
Ou si mal... La nouvelle de la mort de son amie d'enfance l'attrista beaucoup, même si elle n'en laissa rien paraître...*

- C'est donc que l'on vous a bien informée... Oui, je connaissait cette dame. Elle a donc une fille ? L'avez-vous déjà rencontrée ?

-Je n'ai jamais rencontre Victoria

» se pose dans sa chambre
» Va dans sa chambre pv Cara et Aurore